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Aussi intéressantes que soient les expériences menées sur l’effet placebo, le Dr. Bernard Grad considérait qu’elles n’allaient pas assez loin. Impressionné par les récits concernant l’efficacité de l’imposition des mains, Grad décida d’organiser des expériences permettant de démontrer que cette forme de traitement implique une autre force, ou une interaction, pour le moment non perçue, entre le guérisseur et le malade. Le problème était de trou-ver le moyen d’isoler d’une manière satisfaisante ce facteur des autres. Exactement comme l’effet placebo avait bouleversé le résultat des expériences menées sur les médicaments, la suggestion risquait de s’immiscer dans cette tentative pour découvrir ce qui se passe lorsqu’un guérisseur est à l’oeuvre. Très vite, Grad en arriva à la conclusion que l’utilisation d’êtres humains dans ses expériences rendrait la tâche pratiquement impossible : il y aurait toujours le risque que certains facteurs, comme la suggestion ou la foi, soient responsables d’un changement ou d’une amélioration. Aussi choisit-il d’utiliser des animaux et des plantes pour son projet. Pour autant qu’on puisse le savoir, ces êtres vivants ne sont pas réceptifs à la suggestion et n’attendent absolument rien de l’expérience en cours. De ce point de vue, Grad sentit qu’il serait en terrain sûr… Le guérisseur choisi par lui comme agent de recherche fut Oskar Estebany. Colonel de l’armée hongroise à la retraite, il avait découvert ses pouvoirs de guérisseur en s’occupant de chevaux ! Il avait ensuite appliqué ses ta-lents aux humains. Par la suite, guérir était  devenu son activité principale. Il ne demandait rien en échange de ses services et ne fai-sait aucune déclaration extravagante sur ce qu’il était en mesure d’accomplir. En 1957, il devait quitter la Hongrie pour s’installer au Canada : ainsi, en 1960, le laboratoire de Grad l’engagea, contre rémunération, pour ces expériences. Pour la première expérience, sous anesthésie, on préleva un petit morceau de peau de même étendue sur le dos de quarante-huit souris. Elles furent ensuite pesées, les dimensions de leurs blessures mesurées et soigneusement notées. Au cours des deux semaines précédant l’expérience, les souris avaient été choyées par les laborantins, car on sait que des animaux nerveux font des sujets peu fiables pour un travail de recherche. A ce stade de l’expérience, personne ne savait quelles souris serviraient de contrôle et lesquelles subiraient le traitement. Après l’opération, les souris furent réparties en trois groupes et placées dans des cages séparées. Estebany traita le premier groupe en tenant la cage sur sa main gauche et en posant sa main droite sur le dessus, sans aucun contact physique avec les souris. Le second groupe fit l’objet de soins limités à la nourriture et aux manipulations de routine. C’était le groupe de contrôle. Le troisième groupe reçut les mêmes soins, mais, au lieu d’être traité par Estebany, les souris furent exposées à une certaine température comparable à celle dégagée par les mains du guérisseur (ceci afin de déterminer si la chaleur seule pouvait accélérer la cicatrisation des blessures). Les blessures de la peau furent examinées, mesurées et notées régulièrement, sur une période de. vingt jours, afin de pouvoir analyser et comparer les vitesses de récupération et de guérison. Les souris exposées à une chaleur artificielle ne montrèrent aucune différence significative dans leur vitesse de guérison avec le groupe de contrôle. Les souris trai-ées par Estebany récupérèrent beaucoup plus vite. Et cela contre toute attente !

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Les cicatrices des souris traitées par le guérisseur avaient diminué d’une façon presque uniforme : elles se réduisaient à la dimension d’une pointe de crayon. Celles des souris des deux autres groupes montraient des degrés divers de guérison : certaines cicatrices étaient aussi réduites que celles du groupe d’Estebany, mais environ la moitié restaient plus importantes. Pourtant, aussi prometteurs que les résultats de cette seule expérience puissent paraître, ils ne pouvaient être considérés comme une découverte et une preuve définitive. Ainsi que pour toute expérience scientifique, ces résultats devaient être confirmés par d’autres laboratoires. Une expérience semblable à celle de Grad fut tentée à l’université du Manitoba, au Canada. Cette fois, elle concernait trois cents souris. Des conditions en double aveugle furent prévues, afin d’éviter toute possibilité de manipulation inconsciente de la part des expérimentateurs. Comme contrôle supplémentaire, un groupe de souris fut traité  avec les mêmes gestes qu’Estebany par des gens qui ne prétendaient aucunement posséder des dons de guérisseur. Une fois de plus, celles traitées par Estebany montrèrent la vitesse de récupération et de guérison la plus élevée… A partir de ces résultats, Grad sentit qu’il était à la veille de faire une découverte d’importance. Afin de savoir si des effets mesurables pouvaient être enregistrés avec des plantes, Grad eut l’idée d’une expérience sur la possibilité d’influencer la germination et la vitesse de croissance de graines d’orge. En cas de succès, l’expérience apporterait sans doute. une lumière supplémentaire sur les mécanismes en question. Pour commencer, Grad arrosa les graines avec une solution faiblement saline.

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