Bonjour,
Je suis Elona, une médium et tarologue. Née ne Russie, je viens de très loin pour mettre à votre service mes dons. Le son et les vibrations sont mes outils de travail et les Tarots de Marseille me servent à confirmer mes intuitions, un véritable livre de la vie.
Je pense que celui qui maîtrise son passé, peut naviguer avec succès dans le futur. De ce fait, je suis à votre disposition pour vous aider, vous comprendre, vous guider le plus loin possible et surmonter les embuches de la vie.

Il y a des émotions, comme la peur, l’amour, un sentiment de protection, de sécurité, qui naissent avec nous. Le nouveau-né ressent ces émotions de manière instinctive. Et puis il y en a d’autres, comme le sentiment de culpabilité, qui est inculqué par l’éducation à travers l’interaction avec quatre figures fondamentales :

PARENTS
ÉCOLE
RELIGION
SOCIÉTÉ (amis, télévision, règles, etc…)

En tant qu’enfants, on nous dit que nous ne devons pas faire d’erreurs, et on nous le dit à travers les punitions, qui conditionnent nos jeunes esprits et nous “enseignent” ce qui est bien et ce qui est mal, dans la logique de ceux qui interagissent avec nous. Tout cela peut avoir un effet secondaire dangereux : ce nouveau sentiment commence à naître en nous, que nous apprenons ensuite à qualifier de culpabilité. Tu te souviens ? Des phrases comme : “Mange tout, parce qu’il y a des enfants qui n’ont rien à manger !”, “Sois gentil avec ton frère, s’il se blesse, c’est de ta faute !”, “Tu as une mauvaise note, c’est de ta faute !”. “Tu as eu une mauvaise note, c’est de ta faute !” L’école n’est pas différente. Il inculque la mauvaise association erreur = mauvaise note.

Le terme “blâmer” vient du grec et signifie “manquer la cible”. Faire ce que l’on ne voulait pas faire. Expérimenté par les personnes sensibles et responsables, c’est un mécanisme de la conscience qui nous signale un malaise et nous réprimande lorsque nous faisons quelque chose qui enfreint notre code moral, nous hantant jusqu’à ce que nous prenions des mesures pour nous amender. Lorsqu’elle se développe de façon normale, elle est un facteur important de notre développement, car elle rend possible le sens des responsabilités et participe à la construction de l’éthique personnelle. Lorsqu’il est excessif, cependant, il constitue un élément de blocage très pénible.

La première chose à faire pour contrôler les émotions désagréables découlant de la culpabilité (qui sont souvent variées : colère, frustration, inquiétude, tristesse, désespoir…) est d’apprendre à la connaître. Il existe deux types de culpabilité :

La culpabilité découlant du moralisme. Il s’agit d’un sentiment lié à des messages inconscients qui nous sont parvenus au cours de notre vie, dès notre plus jeune âge, et dont nous ne pouvons pas être pleinement conscients, c’est-à-dire à toute une série de règles (interdictions et ordres) intériorisées de manière très rigide, et venant de l’extérieur. Ce genre de sentiment conduit à se réprimer, à réprimer ses besoins et son projet de vie. Si nous contrevenons aux commandements de notre “juge intérieur”, nous craignons immédiatement un jugement négatif sur nous, non seulement de la part des autres, mais encore plus de la part de nous-mêmes.
En fin de compte, le sentiment de culpabilité nous dit : “Tu es coupable et tu seras condamné et puni” ou “Tu n’es pas digne de l’approbation des autres”, tout comme vous avez eu l’impression de ne plus mériter l’amour de votre mère parce que vous aviez enfreint un interdit ou manqué à un ordre. La plupart des personnes qui se sentent “coupables” souffrent d’une manière ou d’une autre de la peur de l’abandon, de la peur de perdre un amour ou l’approbation des autres. La possibilité de faire un choix en dehors du chœur est effrayante, et la tentation est grande de rester fidèle au groupe en renonçant à soi-même et à sa véritable identité.

Le deuxième type de culpabilité, ou plutôt la culpabilité dans son sens positif, vient de l’intérieur et nous dit “tu n’es pas bien, tu fais fausse route” ; elle nous fait nous sentir insatisfaits, inadéquats parce que nous ne réalisons pas notre potentiel. Un autre facteur très important à prendre en compte est le “moi idéal” de chacun, c’est-à-dire ce que nous aimerions être ou ce à quoi nous aspirons, et auquel nous sommes continuellement confrontés. Ce “moi idéal” est presque toujours disproportionné par rapport à nos capacités réelles et, s’il n’est pas réduit, il peut être une source de culpabilité.

Elona