La vieille âme est spirituelle par nature, mais il peut arriver qu’elle ne traite pas consciemment de spiritualité. Il a un accès spontané aux images intérieures et limite les expériences méditatives, et travaille consciemment avec des énergies ou perçoit clairement sa voix intérieure, connecte sa conscience à des entités supérieures, élargissant ainsi sa conception du monde.

Il y a toujours de nombreuses possibilités pour développer sa divinité et son potentiel. La vieille âme a clairement reconnu son propre chemin et le suit sans se décourager. Il aurait des qualités exceptionnelles de leader parce qu’il est équilibré et ne cherche plus à convertir les autres, parce qu’il est naturellement et authentiquement divin.

Elle est ferme comme un roc et respire la tranquillité, la paix, l’autorité et la sécurité dans l’environnement qui l’entoure, même en période de chaos. C’est une source d’être. Et là, il y a un parallélisme avec l’âme du nouveau-né, dont nous avons dit que dans ses premières incarnations, il rêve d’entrer dans la vie. C’est exactement le contraire qui arrive à la vieille âme : elle rêve en fait de sortir de la vie.

Elle est souvent en contact avec sa patrie spirituelle par le biais d’images intérieures ou d’une communication intérieure, mais elle a la capacité de passer rapidement d’un état à un autre et d’organiser les choses dans le domaine matériel. Elle se consacre volontiers à elle-même, à ses nombreux talents, à ses pensées, à ses images et à ses énergies. Sa connaissance intérieure et sa contemplation mentale lui révèlent les lois de la vie. C’est une grande joie pour elle de s’occuper de ces choses.

Elle a acquis son propre pouvoir personnel et une grande force animique, puisqu’elle se trouve dans le processus de refonte avec ses frères et sœurs de l’âme. Elle se caractérise par une grande paix intérieure et une grande authenticité. A la fin de ce cycle, elle retournera pour toujours dans sa patrie spirituelle.

C’est ce que nous voulions vous dire sur les âges de l’âme. Mais il y a aussi un autre aspect que nous aimerions vous illustrer. Tous les êtres humains qui sont actuellement avec vous sur Terre ont déjà de nombreuses incarnations derrière eux. Aucun d’entre vous n’est ici pour la première fois ; vous y êtes tous déjà venus plusieurs fois.

De plus, chaque fois que vous revenez sur Terre dans un nouveau corps, vous passez par la période néonatale, la période infantile, la période adolescente et, qui que ce soit avant ou après, vous devenez adulte à un moment donné. Et en attendant, vivez à nouveau le chemin évolutif de votre âme personnelle : passez par la phase de l’âme du nouveau-né, celle de l’âme de l’enfant, celle de l’âme de l’adolescent et évoluez au degré que vous aviez atteint dans votre incarnation précédente. Après cela, il est évident que votre évolution se poursuit ! Dans un sens, vous accélérez le développement de votre cycle d’incarnation.

C’est pourquoi il est possible qu’il y ait une période au cours de laquelle vous tendez vers la perfection, absorbiez les bavardages et les ragots, soyez très actif au niveau professionnel, soyez violent ou militant, traversez vos crises et souffrances personnelles, tournez-vous vers votre moi intérieur et trouvez des solutions. Chacune de ces phases est légitime. Ne te plains pas de toi-même ! Vous passerez en revue vos incarnations passées et les étapes de l’évolution que vous avez vécues à grande vitesse, non pas en détail, mais plutôt en revivant les différents cycles de cette existence et en les surmontant.

Beaucoup d’entre vous se rappellent avoir préféré d’autres films quand vous étiez jeunes, avoir eu d’autres idoles et d’autres valeurs, et ces inclinations viennent probablement d’une incarnation passée dans laquelle vous aviez une âme adolescente. Puis il se résout et vous continuez à évoluer.

Vous êtes actuellement dans un avion temporel très turbulent, un avion dans lequel la transformation est à l’ordre du jour et il peut arriver à tout moment que vous quittiez l’âge de l’âme que vous aviez mémorisé, pour passer au suivant. Il peut donc arriver que vous passiez de l’âme adolescente à l’âme mature, ou de l’âme mature à l’ancienne. Habituellement, vous restez pour des vies différentes dans le même âge de l’âme, mais dans votre temps est différent.

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 Quel âge à votre âme ?

L’âme nouvelle née
Avant de s’incarner pour la première fois, cette âme n’a jamais été dans le monde matériel. D’une part, elle est fascinée par le jeu que vous appelez “la vie”, et d’autre part, ce plan de réalité matérielle lui semble effrayant. Elle a peur de ce nouveau monde, mais en même temps elle se sent magiquement attirée par lui, et surmonte cette peur en s’incarnant dans un noyau familial où elle se voit offrir beaucoup d’intimité, où règne la sécurité émotionnelle, où elle se sent soutenue et ne subit aucune pression, où elle est acceptée et bienvenue dans la grande famille, dans le clan, dans le groupe pour le reste de sa vie. Là, l’âme du nouveau-né se sent bien. Elle vit ses premières incarnations presque comme dans un rêve, elle donne l’impression d’être la tête dans les nuages, de ne pas être complètement présente.

Dans la grande famille, elle peut surmonter sa peur, car il y a toujours quelqu’un autour d’elle. Elle n’est jamais dans la situation embarrassante d’être seule dans une pièce. Elle a besoin de la proximité des autres, pour elle c’est quelque chose de très important parce qu’elle est terriblement anxieuse et peu sûre d’elle. L’âme du nouveau-né veut toujours avoir l’ourlet d’une jupe pour s’y tenir. Elle a besoin de quelqu’un en qui elle peut avoir confiance et elle aime beaucoup sa famille.

Sa plus grande peur est de sortir et de se retrouver soudainement seule dehors. Cette âme nouveau-née grandit progressivement, ce cycle implique plusieurs incarnations. Peu à peu, elle abandonne l’ourlet de sa jupe, et dès qu’elle lâche prise et fait ses premiers pas seule vers l’extérieur, elle entre dans l’âge de son âme enfantine.

L’âme enfant
Le signe distinctif de l’âme de l’enfant est la curiosité : elle veut être partout, elle veut tout savoir, elle veut tout voir, tout voir et ne rien manquer. Elle s’intéresse à tout ce qui se passe, à tous les sujets de conversation des autres. Elle est présente dans les lieux où elle travaille et elle veut tout comprendre. L’attention, l’observation et les questions sont ses principales caractéristiques. Il aime et est curieux de tout ce qu’il y a à voir et à entendre, et il absorbe avec gourmandise toutes ces informations, comme une éponge. Son plus grand désir est de faire partie de quelque chose.

Il est peut-être capable de faire des tâches simples, mais il échappe aux tâches exigeantes. L’âme de l’enfant n’est pas capable de penser par elle-même et de tirer ses propres conclusions des informations recueillies. A cet âge, elle est aussi prête à accomplir des actions et des tâches pour les autres, dont la simplicité ne peut être réalisée. Elle prend toutes les informations pour la fonte d’or. Au fur et à mesure que l’âme de l’enfant réagit et une fois qu’elle aura quitté ce cycle, elle aura l’idée de savoir comment tout faire mieux et entrera ainsi dans la phase de l’âme adolescente.

L’âme adolescente
L’âme adolescente se précipite vers l’expérience et est convaincue qu’elle est meilleure que les autres. Elle veut montrer ses talents, se montrer et être admirée. Elle veut être parfaite. L’âme adolescente veut essayer tout ce qu’elle a observé et écouté dans la phase de l’âme de l’enfant. En même temps, elle est extraordinairement imprudente, car aucun but n’est trop lourd, trop grand, trop cher ou trop dangereux : elle veut montrer au monde qu’elle est exceptionnelle.

L’âme adolescente n’a aucune sécurité intérieure et n’est finalement pas prête à prendre ses responsabilités. Si l’un de ses objectifs tourne mal, c’est essentiellement la faute des autres. Il compense le manque de sécurité par le luxe et l’apparence. Ses vêtements seront exclusifs, son moyen de transport voyant, ainsi que sa maison. Il aime se faire remarquer et veut montrer au monde entier à quel point il est efficace et brillant.

Si son apparence extérieure menace d’éclater comme une bulle de savon, en cas d’urgence, il est prêt à recourir à la violence pour maintenir l’image qu’il a soigneusement créée. Ce faisant, il se laisse entraîner dans le mensonge et le crime. Elle est souvent intimement lacérée et bouleversée, et fait tout son possible pour ne pas percevoir ces sentiments. Pendant longtemps, elle se sent aussi parfaite et essaie de transmettre cette image d’elle-même aux autres.

Au fond d’elle-même, elle n’est pas sûre d’elle : elle manque des expériences et des valeurs de l’âme mûre. A la fin de ce cycle, il peut arriver que l’âme adolescente plonge dans un traumatisme profond. Jusqu’à présent, il n’a eu que des choses extérieures comme point de référence, il a lutté pour se montrer et pour maintenir son masque parfait. Tout cela lui glisse soudainement des doigts et elle se sent épuisée. C’est souvent à ce moment que l’effondrement se produit : l’âme adolescente voit clairement son propre monde fictif, son propre masque, commence à douter d’elle-même et se sent épuisée. Elle entre dans l’âge de l’Âme mûre.

L’âme mûre
Même l’âme mûre a tendance à avoir des expériences, mais pour elle il est important de les comprendre, de les analyser de manière critique et de les traiter intérieurement. Elle ne se jette plus aveuglément dans les choses, mais choisit soigneusement les situations dans lesquelles elle veut les vivre. Au cours du cycle de l’âme adolescente, elle a accumulé beaucoup d’expériences qui ont eu lieu si en masse qu’elle n’a pas le temps de les traiter intérieurement, mais maintenant cette phase a pris fin.

Maintenant, l’âme établit de nouvelles priorités et de nouvelles valeurs ; elle perçoit ses propres sentiments et aspire à la vérité et à l’authenticité. Il a un sens aigu de la justice et laisse tomber son vieux masque protecteur et son apparence extérieure. Parfois, elle craint encore de ne pas être acceptée par les autres pour ce qu’elle est. Tout ce cycle évolutif se déroule dans son intériorité et doit donc passer du temps seul : du temps pour réfléchir, sentir, comprendre et identifier son point de vue.

Tandis que l’âme adolescente faisait tout pour éviter d’être seule et de divaguer, la solitude de l’âme adulte devient une nécessité. Elle meurt du désir de découvrir ce qui se passe en elle et se joint souvent à des groupes d’entraide pour mieux se comprendre et mieux comprendre les autres dans un environnement protégé. Alors que l’âme adolescente transmettait une connaissance purement théorique, l’âme mature entre dans un nouveau contexte, celui de la connaissance par l’expérience. Dans la phase finale de ce cycle, il attribue peu de valeur aux titres, qui pour l’âme adolescente étaient encore une plume dans le chapeau. C’était le cycle de l’âme mûre, suivi de celui de la vieille âme.

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Une rencontre écrite dans le destin :
Il n’y a pas de doute : la rencontre avec une âme aimée est toujours prédestinée. Il est écrit dans le destin aussi bien que dans les étoiles et n’est jamais le fruit du hasard. Ce qui est rare, ce n’est pas tant la rencontre (comme on pourrait le croire) que la reconnaissance mutuelle et la capacité à vivre cette expérience en paix. Qu’est-ce qui nous empêche de nous reconnaître nous-mêmes ? Nous, nous-mêmes. Nos peurs. Et surtout ce que nous rejetons sur nous-mêmes. C’est pourquoi le voyage à la recherche de l’autre est avant tout un voyage à la recherche de nous-mêmes, pour récupérer les parties de nous moins aimées qui rendent difficile pour nous de vivre pleinement toute expérience d’amour.

Comme le couple Hendrix le dit dans son beau livre “Amour Conscient” (“Amour Conscient”, malheureusement pas encore publié en Italie) : “L’amour a une force très puissante. Si nous ne savons pas comment utiliser cette force, nous sommes facilement victimes de ses puissantes et douloureuses distorsions. C’est la résistance à l’amour qui cause des problèmes, pas l’amour lui-même. L’amour a une lumière très forte et quand il nous investit, il illumine aussi nos parties sombres. Cela fait remonter à la surface des aspects de nous que nous essayons désespérément de garder cachés. Quand ceux-ci émergent dans la rencontre et dans la relation, nous dressons souvent des barrières et accusons l’autre et l’amour d’être la cause de nos maux.

Il n’est pas nécessaire de croire au concept d’âmes sœurs ou de compagnons pour travailler sur soi-même : toutes les psychothérapies de contact (thérapies qui aident l’individu à entrer en relation avec les autres) transmettent les mêmes concepts d’acceptation de soi aimante. Comme le soutient la psychothérapie de la Gestalt : “Le paradoxe du changement est que pour pouvoir changer, il faut d’abord s’accepter soi-même comme on est”. Si nous nous rejetons d’abord, comment pouvons-nous penser que les autres nous accepteront ? En fait, ces façons (apparemment) erronées d’être tentent d’équilibrer nos vies ; peut-être qu’elles sont là pour nous défendre, ou pour nous rendre moins vulnérables, ou pour nous faire bien fonctionner dans la société et, aussi incroyable que cela puisse paraître, elles essaient de nous aider.

Dans une tentative de combler notre besoin, cependant, des dynamiques qui ne sont pas les bonnes sont mises en œuvre, et qui nous causent souvent de la douleur ou de la frustration en nous empêchant de donner et de recevoir de l’amour. Accepter ces façons d’être, c’est donc s’écouter soi-même et entrer en contact avec le besoin qui le sous-tend. En nous écoutant les uns les autres, nous pouvons comprendre quel besoin nous essayons de combler et nous nous préparons à trouver une nouvelle façon de le satisfaire. Il est donc important de se rappeler que tout acte d’écoute est d’abord un acte d’amour. Ce n’est qu’en apprenant à nous écouter nous-mêmes et à nous connaître les uns les autres que nous pourrons vraiment nous écouter les uns les autres et les reconnaître. Tout acte d’amour envers nous-mêmes est un acte d’amour que nous faisons envers les autres. C’est ici que nous commençons à le rencontrer avant même de le rencontrer vraiment.

Les âmes se sont rassemblées pour une tâche d’amour :

Que se passe-t-il quand deux âmes se réunissent et réalisent leur amour ? La réponse est presque toujours la même : ils finissent très souvent par partager une “tâche d’amour” projetée au-delà de leur individualité et qui s’étend à tous les êtres humains.

En d’autres termes, l’expérience de l’amour total qui a lieu entre deux âmes n’est jamais le fruit du hasard : avant de reconnaître l’autre, l’âme a parcouru un long chemin sur lequel elle s’est reconnue, apprenant à s’aimer elle-même ; elle a comparé ses peurs, ses faiblesses et a su s’accueillir et se nourrir comme une mère avec son enfant. Dans ce contact d’amour profond avec elle-même, l’âme a ouvert la porte à un type d’amour qui ne peut être partagé qu’avec ceux qui ont atteint une conscience identique et un sens similaire d’amour pour eux-mêmes et pour les autres. Si deux âmes peuvent faire l’expérience l’une de l’autre, c’est parce qu’elles ont travaillé individuellement et avec la même intensité à la connaissance et à l’expérimentation de l’amour : quand leur amour se confond, il donne vie à un amour plus grand qui se manifeste en impliquant le monde environnant.

On dit que les âmes réunies vibrent avec la même intensité et, si tout est vécu avec conscience par les deux, cela les conduit à consacrer leur vie au service de la société et de l’humanité. Plus l’amour partagé sera grand, plus grande sera la tâche sociale qu’ils se donneront. Au plus haut niveau de conscience, puisque les deux connaissent et expérimentent l’amour infini, on choisit souvent des rôles sociaux qui leur permettent d’inculquer aux autres non seulement leur propre amour, mais aussi et surtout la certitude que l’amour que chacun cherche désespérément existe, et peut être réalisé par chaque être humain.

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La rencontre avec une âme aimée est toujours prédestinée. Il est écrit dans le destin et n’est jamais le fruit du hasard. Ce qui est rare, alors, ce n’est pas tant la rencontre (comme on pourrait le croire) que la reconnaissance mutuelle.
La plupart des écoles de pensée ésotérique soutiennent que les âmes se réincarnent en groupes : dans des vies différentes nous rencontrons nos vieux amis et ennemis, ceux-là mêmes avec qui nous avons décidé au début des temps de partager notre séjour sur terre. Ces “compagnons de route” nous aident dans notre évolution et c’est à travers eux que nous avons l’occasion d’apprendre les leçons les plus importantes.

“Chacun de vous a une personne spéciale. Parfois, il y en a deux, trois ou même quatre. Pour vous rejoindre, ils voyagent à travers les océans du temps et les espaces sidéraux. Ils viennent d’ailleurs, du ciel. Votre cœur les a déjà accueillis comme faisant partie de lui-même. Il y a un lien entre vous qui traverse le temps : vous ne serez jamais seul” .

La différence entre les âmes jumelles et les âmes semblables est en fait très difficile à définir : certaines écoles de pensée prétendent que ces dernières – contrairement aux âmes jumelles – se trouvent à accomplir certaines tâches terrestres nécessaires à l’évolution et que, à cette fin, elles s’entraident. Les âmes sœurs, par contre, partageraient un idéal beaucoup plus métaphysique et spirituel. Il est toutefois intéressant de noter que d’autres courants spirituels fiables sont beaucoup plus vagues à cet égard. De nombreuses sources affirment que l’âme n’a pas de polarité féminine ou masculine préétablie, parce que l’autre monde d’où elle vient a pour principe l’unité indissoluble : la polarité féminine et masculine est le résultat du plan de masse (le plan de la dualité) et l’âme choisit de se plonger dans ce principe dualiste uniquement pour expérimenter la Terre.

Le mariage alchimique

En réalité, l’âme contiendrait les deux principes en elle-même, et le but terrestre de chaque être humain serait d’atteindre ce que les alchimistes appelaient le “mariage alchimique” : c’est-à-dire la fusion intérieure parfaite des principes masculin et féminin. Il n’y aurait alors pas d’âme sœur parfaite pour chacun de nous, mais des âmes sœurs multiples et bien-aimées avec qui avancer sur le difficile chemin terrestre, et avec qui partager les joies et les peines de l’être humain.

Des amours contrastées :
Il est courant de croire que la rencontre entre les âmes est toujours caractérisée par une harmonie immédiate et des sensations célestes. Dans les films (et peut-être dans nos rêves) les âmes jumelles se rencontrent dans une atmosphère magique et inattendue : les regards se croisent et chacun se perd dans les profondeurs de l’autre, tandis qu’une musique angélique accompagne l’expérience d’une rencontre ineffable… En réalité il ne semble pas en être ainsi. Ou, du moins, pas toujours. Et les raisons sont différentes.

Tout d’abord, l’état de confusion dans lequel nous vivons nous empêche de percevoir des sensations qui se produisent à un niveau très subtil : celui qui entre en contact avec une âme (déjà) aimée ressent toujours un sens d’amour très profond et presque émouvant envers elle, mais en est rarement conscient.

Trop occupé par des images et des pensées mentales un peu plus “terrestres” (pour utiliser une expression populaire mais dans ce cas très efficace), notre ego ne peut pas non plus s’accorder aux vibrations de l’amour : c’est comme si nous demandions à notre oreille de percevoir une musique très fine au milieu d’un bruit disco. Comment est-ce possible ? Et donc, le sentiment est là, mais il est perdu. De plus, il y a une raison plus profonde : la rencontre entre les âmes présuppose toujours l’apprentissage d’une grande leçon d’amour. Et cela arrive rarement sans douleur, parce que notre ancien soi résiste et ne veut pas apprendre.

L’âme sœur a la tâche première de nous ramener à nous-mêmes, par des tests et des comparaisons que nous essayons d’éviter depuis un certain temps. Si vous vous égarez, le chemin devient plus long et plus difficile : notre âme-soeur est là pour nous montrer le chemin, mais surtout pour nous montrer où nous avons pris un mauvais chemin. Parce que l’âme sait (et sait toujours !), quand deux âmes bien-aimées se rencontrent, toutes deux sont conscientes que leur approche mettra en lumière des blessures cachées et souvent très douloureuses qui doivent être guéries. Ainsi, contrairement à ce que vous pensez, la réaction du “moi” pourrait être non seulement de vouloir s’échapper face à une si grande épreuve, mais de faire partager la résistance, même pendant une longue période d’existence.

Les amours nombreuses et profondes entre les âmes sont contrastées et difficiles : toutes deux réapprennent à aimer et ceci, comme souvent, implique la remise en question totale de sa vie et de son être, même au prix de bouleverser totalement la tranquillité apparente vécue jusqu’ici. Cependant, quand les deux âmes entrent en résonance, l’amour et la relation qui se développe entre elles est au-delà des mots : ceux qui l’ont vécu, prétendent avoir expérimenté un sens de fusion et d’amour si absolu qu’il n’est comparable à rien de terrestre, et que seulement pour le décrire il perd sens et magie…

Les relations karmiques :

Karma à équilibrer : Il y a enfin un dernier type de relation entre les âmes : celle qui se produit entre les âmes qui ont un karma à équilibrer. Selon la “loi du karma”, comme déjà mentionné, toute action “négative” contre d’autres êtres humains doit être soudée d’une certaine manière dans une vie ultérieure. Ainsi, les âmes qui ont un compte en attente finissent tôt ou tard par se retrouver ensemble. Dans ce cas, ils ne se sont pas nécessairement accompagnés et aimés dans beaucoup d’autres vies antérieures (il suffit parfois d’en avoir une seule) : ils se retrouvent, et entre eux peut naître une histoire d’amour qui a pour but le règlement d’une dette ancienne. Ce type de relation est très courant et est reconnu car, une fois l’histoire terminée, le sentiment originel ne reste pas grand-chose.

Ce sont souvent des histoires qui apportent un certain degré de souffrance, parce que la douleur infligée par une âme dans un temps lointain, vient de cette souffrance dans la vie actuelle. Ce n’est pas une punition, comme cela peut paraître, mais une école d’apprentissage difficile : ce n’est qu’en expérimentant cette même douleur que l’âme prend conscience de ce que signifie souffrir et, par conséquent, de la cruauté qu’il est de faire souffrir. Et ceci, comme toute autre leçon, peut être appris ou rejeté : les relations karmiques (comme toutes les relations importantes) ne nous apprennent rien, mais nous donnent simplement l’occasion d’apprendre. Nous savons bien que la souffrance peut nous rendre plus difficiles ou plus compatissants : comment et si nous apprenons, la leçon dépendra de nous. Si l’âme refuse d’apprendre, elle sera renvoyée à un autre examen : une fois de plus, l’affronter sera inévitable ; son issue sera plutôt entre nos mains.

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Vous avez souvent des peurs dont le sens est le suivant : C’est un pouvoir négatif qui me menace et dont je dois me protéger ! . Ces peurs déterminent vos pensées et vos croyances, et de cette façon, vous émettez des radiations sur de très faibles plans de vibration. La pensée que vous exprimez est : Je me sens bloqué. Et c’est un ordre qui sera exécuté.

Il est important que vous observiez précisément en vous-même la base de vos pensées et sentiments, vos croyances et vos actions. Quel est le sentiment derrière eux ? Qu’est-ce qui vous motive à penser, à ressentir et à agir de cette façon ? Sur quelle base vos croyances ont-elles surgi ? Est-ce un sentiment de joie, de liberté et d’amour ? Ou peut-être un sentiment de peur, de manque et d’autolimitation ?

La peur vous empêche d’avancer sereinement

Dans ce dernier cas, vous émettez automatiquement des attentes à des niveaux inférieurs et celles-ci sont satisfaites. Elle peut s’intensifier à un tel point que vous commencez à développer de la douleur et à ressentir le sentiment d’être attaqué par un pouvoir négatif. Sachez que cela ne peut arriver que si vous le pensez et que vous êtes intimement convaincu que cela peut arriver.

Ensuite, prenez conscience de la puissance de vos pensées et prêtez attention aux messages que vous envoyez intérieurement. Lorsqu’on classe un objet, une personne, un animal ou une chose comme dangereux sur le plan extérieur, on dégage une énergie de peur, donnant à cette “chose” un immense pouvoir. Et le pouvoir que vous donnez de cette façon vous met dans une position d’impuissance. Avec l’aide de vos pensées et de vos croyances, vous donnez votre pouvoir personnel, ce qui permet la création d’une réalité correspondant à vos croyances.

Alors tu peux dire :  Je savais que ça tournerait mal !  De cette façon, vous continuez à obtenir la confirmation de vos convictions étranges. Le seul remède est de réfléchir à vos pensées. Demandez-vous toujours : cette conviction, cette action ou cette pensée représente-t-elle ma plus haute sagesse divine intérieure ? Quel est le sentiment derrière tout cela ? Cette pensée me rapproche-t-elle de l’amour ou de la peur ? Est-ce que j’agis en tant que créateur ou victime ?
Lorsque vous vous déplacez dans votre monde matériel, la qualité de vos pensées et de vos sentiments se répand dans votre aura, qui peut être brillante et colorée ou grise et sale. Le plan qui vous entoure est fait de lumières et d’ombres, contient du positif et du négatif. Nous faisons référence au plan mince à partir duquel vous êtes enveloppé et que vous ne pouvez pas percevoir avec vos sens. Il contient des forces positives et négatives, tout comme sur Terre, toutes les forces sont présentes d’une double manière. Si vous vous trouvez dans un état de joie intérieure, de bonheur et d’équilibre, vous pouvez facilement envoyer votre conscience vers les plans supérieurs, ceux de sagesse, d’amour et de joie.

Tout ce qui prévaut en vous, vous l’attirez aussi de l’extérieur. Mais si avec vos pensées, croyances et sentiments vous nourrissez un état de peur et d’impuissance, votre système se renverse, votre aura se remplit de points gris et attire de l’énergie de la même couleur. En émettant des peurs, des peurs et des attentes, vous invitez des énergies qui se conforment aux vôtres. Par conséquent, prenez conscience de vos pensées et réalisez que c’est vous qui avez envoyé cette invitation.

C’est pourquoi il est si important que vous vous tourniez consciemment vers votre énergie créatrice. C’est une étape d’évolution très vaste et complexe et pour la comprendre et la mettre en œuvre pleinement, il ne vous suffirait pas de participer à un séminaire d’un week-end.

Pour certaines personnes, ce processus dure des années et exige une connaissance considérable de soi et un travail individuel. Les dix prochaines années sur votre planète sont les années dites de maturité. Dans cette période, chaque être humain apprendra comment ses pensées, croyances et sentiments se matérialisent à l’extérieur et comment ces matérialisations entreront de plus en plus rapidement dans sa vie, produisant des résultats. Aucun des habitants de la Terre ne pourra échapper à cette tâche d’apprentissage.

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Que signifie voir l’horloge en rêve ? Et faire attention à l’heure ? Est-ce que cela change le sens d’une horloge de rêve à porter au poignet par rapport à une horloge de rêve accrochée au mur ? C’est ainsi que les rêveurs dont l’attention est captée par ce symbole se questionnent. Cet article présente les significations possibles des images dans lesquelles l’horloge apparaît dans les rêves, afin que chacun puisse réfléchir et comprendre à quel aspect de sa vie il se réfère.

Horloge dans les rêves

L’horloge dans les rêves, qui se présente sous la forme d’une pendule, d’une horloge murale ou d’une montre-bracelet, est liée à sa fonction : déterminer et diviser l’espace temporel dans la vie des hommes.

Le sens de l’horloge dans les rêves se réfère donc à la notion de temps : temps mesuré, temps qui coule, temps qui fuit, temps qui divise les activités quotidiennes et les phases de la vie.

L’horloge en rêve mais aussi en réalité organise le temps linéaire que l’homme a choisi de suivre pour se défendre du vide, de l’inconnu, du mystère de l’existence. Un temps qui détermine la réalité, qui crée et mesure les limites et les limites, qui donne vie à un conteneur spatial dans lequel l’être humain est immergé.

Le temps linéaire tel que nous le connaissons est une création humaine : depuis l’antiquité, l’attention et l’évaluation de l’espace qui compose le jour de l’aube au crépuscule, a conduit l’homme à essayer de le comprendre en le divisant et en le mesurant.

Des premiers instruments nés pour ce besoin comme le cadran solaire et le sablier, aux premiers mécanismes remontant à l’an mille, aux premières grandes horloges publiques de 1300, aux premières montres-bracelets de 1900, cet instrument est devenu partie intégrante de la vie de tout homme civilisé et premier symbole du balayage temporel du jour et des engagements qui sont consommés pendant le jour.

Que signifie rêver d’un parapluie ouvert ? A-t-il une signification différente lorsqu’il est fermé ? Et si le parapluie dans les rêves est utilisé pour se protéger du soleil a la même signification que le parapluie qui protège de la pluie ? Ou s’agit-il simplement d’un élément de rêve qui n’affecte pas le sens général du rêve ? Ce sont les questions les plus courantes liées au rêve d’un parapluie. Dans cet article, nous allons essayer d’examiner le symbolisme de cet accessoire couramment utilisé pour comprendre comment il se relie à la réalité du rêveur.

Rêver d’un parapluie

Le parapluie dans les rêves est le symbole d’une énergie protectrice et reflète la même fonction qu’en réalité : protéger de la pluie, du soleil et de la chaleur.

Rêver d’un parapluie ouvert devrait amener le rêveur à se demander de quoi il se protège et de qui ou contre quoi il se défend. Et il devra identifier le domaine de sa vie dans lequel il sent qu’il a besoin de cette protection, se demandant ce qu’il craint de subir et ce qui pourrait l’influencer.

Rêver d’un parapluie peut être lié à une insécurité à soulager ou à un besoin qui doit être compris et pris en charge.

Le parapluie du rêve est un diaphragme entre la personne et le ciel, une sorte de filtre qui peut capter les influences extérieures, les réparer, mais aussi les concentrer, les révéler, les souligner. Qu’il s’agisse de problèmes ou de peurs, de tristesse, de situations indésirables, d’épreuves à affronter, le parapluie des rêves est l’outil qui a le pouvoir de défendre, réparer, protéger l’individu.

La coupole formée par l’ouverture du parapluie attire l’attention sur le sujet qui reste en dessous et signale les aspects intérieurs cachés pour que, rêvant d’un parapluie, il puisse indiquer un repli excessif sur lui-même, la peur d’être blessé, une vulnérabilité trop découverte, un personnage renonçant et un peu pessimiste, un excès de “défenses” contre autrui et le monde extérieur.

Tandis que la pointe du parapluie tendue vers le ciel comme un paratonnerre absorbe et concentre ce qui vient de l’extérieur et dont le rêveur a peur, ce qui le dérange et le déstabilise, ce qui peut lui nuire.
Symbolisme du parapluie dans les rêves et la réalité

Le parapluie est un accessoire utilisé dans le monde entier ; au fil du temps, sa forme est restée inchangée, démontrant l’efficacité d’une structure qui, encore aujourd’hui, est le meilleur moyen de se protéger de la pluie, de la neige et du soleil.

Mais il ne faut pas oublier que dans l’Antiquité, les parapluies et les parasols étaient utilisés par les domestiques et gardés ouverts sur la tête du maître, noble, roi afin de protéger et de réparer, mais aussi d’exalter la personne, l’encadrer, le souligner.

Le parapluie était une sorte d’auréole qui faisait allusion au pouvoir, à la richesse, à la noblesse, qualités qui peuvent émerger, quoique rarement, même dans le symbolisme du parapluie dans les rêves du moderne.

La forme longue et étroite du parapluie fermé en fait aussi un symbole phallique ; pour Freud, rêver d’un parapluie est lié à une activité sexuelle ; ouvrir et fermer un parapluie peut faire allusion à une relation déjà portée ou à la masturbation.

Qu’est-ce que cela signifie de rêver aux yeux ? Comment se fait-il que le sens de la vue, le plus actif dans les rêves, se cite en créant des images des yeux dans différentes situations, contextes et couleurs ? De quoi s’agit-il ? Et quel genre de message voulez-vous transmettre sur le thème de la vision ? L’article examine les différents aspects du symbole et les nombreuses images dans lesquelles il apparaît.

oeil dans les rêves

Rêver des yeux est tout à fait commun, comme en témoignent les nombreuses images oniriques dans lesquelles ils apparaissent avec des variations infinies de couleurs et de situations.

Le regard, la couleur, l’expression des yeux dans les rêves peuvent frapper d’une manière particulière et il est facile pour le rêveur d’être impressionné et de vouloir en savoir plus.

Rêve des yeux Signification

Le rêve des yeux a des significations liées à la clarté de la vision, au besoin de mieux voir, de pénétrer l’essence des choses, de percevoir la vérité au-delà de l’apparence, de savoir, de percevoir.

Cela se traduit par une meilleure compréhension d’une situation, en révélant un aspect ” sombre ” de la réalité, en sachant comment les choses sont et quelles sont les intentions des autres, en prenant conscience de ce qui se passe.

Le regard rêveur peut ainsi être assimilé à une soif de connaissance, de compréhension de ce qui se cache derrière, de ce qui est à l’intérieur, de ce qui va au-delà.

Que signifie rêver du désert ? Quel aspect de sa propre réalité ou de soi-même peut-on associer à un environnement aussi extrême ? Dans cet article, nous étudions le symbolisme et les significations du désert dans les rêves et la condition existentielle à laquelle ils se rapportent. A la fin de l’article, il y a les rêves les plus communs dans lesquels le désert apparaît et ses significations.

Des pas de rêve dans le désert

Rêver du désert, qui dans l’imaginaire collectif est considéré comme un lieu aride et vide, est lié à un sentiment similaire d’ARIDITÉ et de VIDE que le rêveur ressent dans une partie de sa vie.

Dans les rêves, le désert peut être considéré comme une sorte de miroir de son propre “désert intérieur”, qui reflète le manque de sentiments, de motivations et d’impulsions vitales, ou de son propre “désert extérieur”, c’est-à-dire le vide des affections, des stimuli et des relations du milieu dans lequel on vit.

Le vide et la SOLITUDE associés au désert rappellent la solitude réelle du rêveur ou le besoin de retrouver de l’énergie en étant seul avec soi-même.

N’oublions pas, en effet, que le désert est le lieu choisi par les saints et les ermites pour se retirer et méditer loin du monde, le lieu où l’on peut être stimulé par le divin ou tenté par le diable, un territoire ambivalent de suspension et de manque de repères qui conduit les ressources individuelles aux conséquences extrêmes.

Ce qu’il entend ou DÉTRUIT.

Ainsi, le rêve du désert est associé à des moments de grande difficulté et de douleur : deuil, séparation, dépression, solitude, mais aussi à la nécessité de reprendre des forces en restant seul avec soi-même, à la nécessité de surmonter le désespoir et le vide existentiel par l’introversion, la connaissance et l’acceptation de soi et le sentiment du “non être” que représente le désert.

Rêver du désert Symbolisme

Le désert est un environnement hostile à la vie, dans lequel l’espace semble s’étendre sans cesse.

C’est le lieu de l’extrême solitude et de l’éloignement de la civilisation, où la nature émerge en toute sa puissance, où l’homme ne peut se sentir petit et impuissant et, dans l’étreinte de cet isolement forcé, affronter ses propres limites et faiblesses.

Elle représente le centre psychique du vide absolu purgé de toute influence, expérience et idée civilisée, une sorte de territoire inexploré très proche de l’essence individuelle, de l’âme, du centre intérieur.

Rêver du désert peut être considéré comme une image puissante d’introspection et de croissance, un espace symbolique à traverser ou dans lequel se perdre, où la seule certitude est celle de sa propre fragilité.

Mais c’est précisément cette solitude et cet isolement qui peuvent encourager la réflexion, la méditation et influencer le processus évolutif.

Qu’est-ce que cela signifie de rêver Frère et Sœur de rêve ? Les frères et sœurs sont parmi les personnages oniriques les plus communs qui peuplent les rêves des êtres humains et ont pour fonction d’indiquer les parties d’eux-mêmes “inconfortables” ou d’attirer l’attention sur des problèmes de relations. Voyons ce que ces dynamiques oniriques étranges et douloureuses tendent à faire et combien il est important de les ramener à soi-même.

Rêver du frère et Rêver de sa soeur est très courant et, comme c’est le cas avec d’autres membres de la famille comme les oncles ou les cousins, fait ressortir la dynamique interpersonnelle et les sentiments entre le rêveur et ces personnes.

Par conséquent, pour comprendre le sens de frères et sœurs rêveurs, il est bon d’évaluer d’abord le NIVEAU OBJECTIF de ces rêves, qui peut être le résultat de tensions, conflits, rivalités et jalousies, d’autres sentiments non exprimés et la nécessité de les prendre en charge, non de mettre le problème de côté, pour résoudre le malaise éventuel.

Que signifie rêver d’une Tour ? Et un clocher ? Et les grands bâtiments étroits comme les flèches des cathédrales et les minarets ? Est-il logique de penser à un symbolisme phallique ou existe-t-il des significations plus pertinentes et actuelles ? Cet article explore les significations de la Tour dans les rêves à partir des plus anciennes suggestions de la Tour de Babel pour explorer les images oniriques les plus communes.

Rêver d’une TOUR, c’est se confronter à sa VERTICALITÉ et au symbolisme de l’ascension que l’on retrouve dans d’autres images oniriques telles que la montagne, la flèche, l’escalier, le minaret, le clocher.

Verticalité qui, dans les rêves, fait allusion à la fois au pouvoir du phallus en érection et à l’union entre les opposés du ciel et de la terre, donc au contact entre la matière et l’esprit et à la possibilité de “monter” d’une position inférieure à une position supérieure.

Cela implique la présence d’un désir et d’une ambition qui ne sont satisfaits que par “l’ascension”.

Pour cette raison, rêver d’une tour est lié aux mythes de l’ascension, à la recherche, innée chez l’homme depuis la nuit des temps, de changer son état avec un “supérieur” dans chaque sphère, spirituelle ou matérielle.

Le terme cauchemars inclut des rêves très différents qui ont en commun la qualité de faire peur au rêveur. Mais l’origine de ces mauvais rêves est différente, tout comme la fonction, les émotions au réveil et les répercussions que les images rêvées ont sur le rêveur. Tout comme la façon de les élaborer et de les transformer sera différente. Dans cet article, nous verrons comment les cauchemars communs peuvent être d’un grand soutien dans le processus de croissance et peuvent souligner ce dont le rêveur a besoin.

Le terme cauchemars vient du latin incubare qui signifie “s’allonger”. En fait, dans l’Antiquité, on appelait cauchemars les êtres surnaturels qui, la nuit, pesaient sur la poitrine des individus endormis, suçant l’énergie et apportant des visions effrayantes.

Ces cauchemars, reflet des démons et des mauvaises influences qui agissaient pendant le sommeil, exigeaient que les rituels soient effectués dans un état de veille afin de se défendre et de se libérer.

Au Moyen-Âge, ces rêves ont pris une connotation encore plus diabolique et démoniaque : ils n’ont pas seulement aspiré l’énergie, ils ont pris possession de la personne. Ils étaient les symboles du malin et d’un pacte avec le diable.

Seules les Lumières et les études sur les rêves de Freud ont radicalement transformé cette vision, mais des traces de ces croyances anciennes sont encore vivantes dans les cultures rurales où elles parlent d’un être nocturne : chat ou gobelin qui pèse et opprime la poitrine du rêveur, lui apportant des visions effrayantes et extrêmement réalistes.

Et c’est précisément le sens du réalisme et la part de peur qui caractérisent les cauchemars qui sont restés inaltérés jusqu’à aujourd’hui qui témoignent de la grande puissance de ces rêves, puissance à laquelle succombe même la personne la plus courageuse et raisonnable, alors que le terme cauchemar est resté pour désigner les images déplaisantes associées à ces expériences de rêve ou simples “mauvais rêves”.

Rêver d’un avion est lié à des désirs, à des besoins :

• mouvement, voyage
• d’échapper à la réalité,
• fantaisies, imagination
• abstraction
• changer votre vie, changer vos habitudes
• indépendance, liberté
• changement rapide
• aspirations idéales,
• la spiritualité,
• voir les choses d’en haut
• excitation, orgasme, sexualité
• projets, ambitions
• hallucinations
• manque de contact avec la réalité

Rêver d’un avion 18 Images les plus fréquentes

Les sentiments ressentis dans le rêve seront importants pour donner la bonne direction à l’analyse de ce symbole : l’intoxication, la joie, l’excitation ou la peur, l’anxiété, la panique refléteront le besoin de se sentir libre, de trouver des espaces dans lesquels s’exprimer, ou la peur, la peur du changement et le futur.
1. Rêver d’un avion volant dans le ciel

peut être considérée comme la manifestation de forces naturelles et inconscientes, l’expression de désirs et de pensées dans la liberté et le besoin d’espace avec l’esprit et l’imagination. Si elle est accompagnée d’émotions positives : émerveillement, calme, sens de la beauté, admiration, peut indiquer la capacité du rêveur d’utiliser son imagination et se sentir libre.
2. Rêver d’avions qui font des évolutions

représente la découverte et la confrontation avec la force de l’esprit et de l’âme et avec les ressources qui sont découvertes en soi. Elle peut être liée à la recherche de spiritualité.
3. Rêver d’avions volant à basse altitude

reflète la peur de trop risquer : il vaut mieux rester “bas” et ne pas oser, imaginer ou espérer plus. Sur un plan objectif, il peut indiquer des situations et des attentes modestes et un manque de courage, mais il peut aussi suggérer l’idée du danger et la nécessité d’être prudent.
4. Rêver d’un avion volant au-dessus de l’eau

est une image de portée archétypique liée aux polarités qui peuplent la réalité et le psychisme humain et qui s’expriment dans les rêves. Il met en évidence le dualisme entre le monde des idées et le monde des émotions et de l’instinct, entre conscient et inconscient, entre haut et bas.
5. Rêver d’un voyage en avion

est liée à la symbologie du voyage et du mouvement vers un but. Parfois, il reflète de véritables désirs de voyage, un voyage qui est organisé ou qui vient d’être fait. Elle peut indiquer le désir d’échapper à la situation que vous vivez, le besoin de changement, de se détacher de la vie et des habitudes habituelles, le besoin de liberté.

6. Rêver de prendre l’avion Rêver de partir en avion

est une action liée à une décision à prendre. L’inconscient montre la nécessité de faire le premier pas et de “bouger”. Elle est liée à une attitude active, au désir de nouveauté et à la capacité de donner de la substance et du concret à ses propres idées et désirs. Partir en avion en rêve, c’est la métaphore d’un véritable “départ”, d’un nouveau cycle, d’un changement à mettre en œuvre, de la nécessité de quitter la terre (sécurité et habitudes) pour faire de nouvelles expériences en abandonnant ce qui était jusque-là la réalité du rêveur.
7. Rêver d’acheter un billet d’avion

est une décision prise. Le rêveur a une idée à réaliser, un rêve ou un chemin à prendre. Rêver du billet d’avion signifie que dans son système psychique il y a un “pass” métaphorique et qu’il y a des possibilités concrètes de “prendre son envol”, de changer quelque chose, de bouger pour atteindre ses objectifs.
8. Rêver de perdre son billet d’avion

est liée à la peur de ne pas avoir ce qu’il faut pour faire ce qu’on veut, de ne pas avoir les bons outils. Elle reflète les angoisses et les craintes qui peuvent surgir lorsque vous prenez une décision importante et que vous êtes sur le point de faire un changement, mais aussi lorsque vous êtes sur le point de partir pour un vrai voyage aérien.
9. Rêver d’un enregistrement

c’est subir le processus nécessaire pour atteindre un but, surmonter une étape où il faut se montrer à la hauteur de la tâche, avoir les papiers pour accéder au parcours symbolique (le chemin choisi, le changement souhaité).
10. Rêver de s’enregistrer et de ne pas avoir les documents

c’est comme ne pas être adéquat, se sentir différent des autres et se sentir jugé, ne pas avoir les bons outils pour aller de l’avant dans une voie de changement, ou pour faire avancer une idée. Craignant le jugement et la confrontation.
11. Rêver de voir des avions à l’aéroport

Selon la sensation ressentie par le rêveur, elles peuvent indiquer des espoirs pour l’avenir, les possibilités dont on est conscient, les capacités et les richesses auxquelles on a accès ou, en négatif (plus rare), une sensation de stase et d’impossibilité, le sentiment qu’on a ce qui est nécessaire à faire et à réaliser, mais qu’on ne peut bouger, se sentir limité, sentir un fossé entre la pensée et l’espoir et la capacité à le mettre en œuvre.
12. Rêver d’un avion qui n’arrive pas

peut indiquer la désillusion et la déception, la stagnation et le fatalisme, il y a une tendance à attendre que les choses “viennent” ou à se réparer. Vous blâmez le destin, la réalité, le malheur, les autres. Elle peut mettre en évidence la nécessité de prendre conscience d’un projet raté, d’une relation qui ne mène nulle part, d’une opportunité ombragée.
13. Rêver au décollage d’un avion

est un rêve positif lié au “décollage” symbolique, c’est-à-dire pouvoir démarrer et réaliser quelque chose qui vous tient à cœur : une idée, un projet. Savoir assumer la responsabilité de quelque chose qui a commencé, avoir de l’espoir et ne pas craindre l’inconnu. L’interprétation des rêves freudiens voit dans ces rêves la représentation de l’excitation sexuelle et de l’érection masculine.

14. Rêver d’un avion qui ne décolle pas

le contraire de ce qui précède. Pensez à l’expression “cette chose ne décolle pas” qui indique un blocage, quelque chose qui échoue. Le rêveur devra se demander dans quel domaine de sa vie il y a encore quelque chose de bloqué, quelque chose qui ne commence pas, qui ne “prend pas son envol”, qui ne se nourrit pas d’espoir et de jets efficaces pour sa réalisation.
15. Rêver de perdre un avion

est équivalent à l’image onirique du rêve de perdre le train, à la différence que l’avion en rêve fait référence au monde des idées et des fantasmes, des idéaux et de la liberté des contraintes terrestres. Perdre un avion, c’est rester au sol, c’est-à-dire rester ancré aux habitudes habituelles, aux idées habituelles, aux gens habituels. C’est perdre une occasion espérée ou la peur que cela se produise.
16. Rêver d’un avion défectueux Rêver d’un avion endommagé Rêver d’un avion sans carburant

comme d’autres images liées à l’avion dans les rêves indique un bloc, l’impossibilité de voler, donc l’impossibilité d’atteindre ce que vous voulez. Il peut se connecter à la libido bloquée et signaler des problèmes d’impuissance et de manque de désir.

17. Rêver d’un avion qui tombe Rêver d’un avion qui s’écrase Rêver d’un avion qui tombe Rêver d’avions qui tombent

sont des images similaires liées au symbolisme de la chute, à un retour brutal à la réalité. Le rêveur a peut-être “grimpé trop haut”, c’est-à-dire qu’il a trop utilisé son imagination, qu’il s’est perdu dans des pensées idéalistes, utopiques ou trop spirituelles et qu’il a refusé toute composante instinctive. Ou bien il a suivi ses idées d’une manière risquée, abandonnant toute forme de prudence.

La descente violente, l’impact au sol et le rêve d’un avion détruit, représentent le besoin de trouver un équilibre entre désir et réalité, entre fantasme et rationalité, entre esprit et instinct.

Cette image peut aussi représenter un excès d’optimisme, un succès rapide obtenu sans évaluer les risques, les désirs et les rêves qui s’opposent à cette réalité ou une déception soudaine pour une idée et un projet qui est rejeté.
18. Rêver de tomber avec l’avion Rêver d’être dans un avion qui tombe

par rapport à l’image précédente montre une plus grande implication et une plus grande anxiété que quelque chose qui est peut-être déjà en cours. Elle représente l’échec et la chute d’illusions et d’espoirs vers quelque chose dans lequel on a investi matériellement et émotionnellement. Des émotions très fortes de panique et des scènes très réalistes accompagnées de la peur de mourir peuvent émerger.

Quelle est la signification de la voix de Dieu dans les rêves ? Que signifie rêver de Dieu ? Dans cet article, nous analysons le symbolisme de cette image onirique rare mais frappante dans l’esprit, les émotions et la mémoire du rêveur.

Dieu dans les rêves rêvant Dieu

Dieu dans les rêves est lié à l’archétype de l’homme et avec le symbole opposé du diable forme l’une des polarités les plus dramatiques et importantes dans la vie de l’homme.

Le symbole de Dieu dans les rêves et du diable dans les rêves sont les extrêmes d’une ligne imaginaire le long de laquelle on trouve des symboles dont l’énergie descend de l’un ou l’autre.

D’un côté, nous aurons Abel, le vieux sage, le druide, le magicien, le guérisseur, le chaman, le médecin, le prêtre, de l’autre côté, Caïn, le bourreau, le dictateur, le meurtrier, le tueur en série, le mafioso, le traître sera né.

Ce sont tous des aspects symboliques qui parsèment la psyché humaine, des polarités qui s’incarnent dans la réalité dans laquelle l’homme vit où Dieu et le diable représentent le bien et le mal, le haut du paradis et le bas de l’enfer, les règnes de l’air et du ciel et ceux du feu et de la matière.

Ainsi, rêver de Dieu mettra le rêveur en contact avec tout ce que son expérience de vie a catalogué comme bon, comme bon, comme bon, comme pur, noble, supérieur.

Que signifie rêver du médecin ? Les médecins et les guérisseurs dans les rêves sont-ils liés à la santé et aux problèmes corporels ou indiquent-ils autre chose ? L’article d’aujourd’hui traite de la signification symbolique de l’une des professions les plus considérées et les plus redoutées dans les sociétés de tous les temps et de tous les lieux.

Rêver du médecin, quant au symbole de l’hôpital et de la maladie, doit amener le rêveur à réfléchir sur son propre malaise et sur la nécessité de le résoudre, mais surtout sur la part de lui-même capable de le faire.

Le but de rêver du médecin est de reconnecter le rêveur à sa force intérieure, à la possibilité de se “guérir”, c’est-à-dire de faire des choses concrètes pour sortir d’une situation de déséquilibre.

Le médecin des rêves concentre en lui la force, l’énergie, la “magie” qui appartiennent au chaman, mais qui, à un titre “scientifique”, sont plus facilement acceptés par la conscience du rêveur civilisé, mais il est aussi une figure paternelle et rassurante à qui l’expérience, l’autorité et l’obéissance sont attribuées.

Le pouvoir et la reconnaissance sociale que le médecin a dans la réalité diurne sont amplifiés dans le monde du rêve, où il a des compétences immenses et son rôle est moins scientifique et plus intuitif, où la “médecine” est la connaissance du corps mais aussi de l’esprit et peut résoudre un état de malaise, déséquilibre, fatigue, conflit, peur, danger.

Rêver d’un dragon rend visible la puissance de l’inconscient le plus sombre et des parties reniées de soi-même. C’est l’éveil d’un pouvoir intérieur destructeur et féroce qui peut être dirigé et transformé par les aspects héroïques de la personnalité. L’article analyse le symbolisme du dragon et ses significations dans l’inconscient collectif de notre temps.

Dragon dans les rêves

Rêver d’un dragon, c’est entrer en contact avec les forces les plus archaïques et les plus mystérieuses qui y sont enfouies, dont la force destructrice peut impressionner et effrayer, mais dont l’énergie vitale, les capacités magiques et protectrices peuvent devenir une ressource pour celui qui rêve.

Mais le dragon dans les rêves, pour devenir un élément de force et un symbole protecteur, doit être reconnu comme une partie de lui-même, une partie “ombre” à connaître et à intégrer avec équilibre et intelligence.

Un aspect de courage indomptable qui peut et sait faire face à tous les obstacles internes et externes.

Si ce n’est pas le cas, rêver du dragon ne fera remonter à la surface que l’archétype de l’ennemi, ce sera le miroir des forces aspirantes de l’ombre comme le diable, le serpent, le crocodile.

L’amour est un sentiment étrange qui nous fait souvent et volontairement faire des choses que nous ne ferions pas lucidement. Un avant tout, accepter d’être ensemble avec un homme qui n’est pas capable de se donner à nous d’une manière unique, mais qui ne fait même pas mystère d’être sentimentalement lié à nous et à une autre femme, d’une manière totalement juste, sans que l’un l’emporte sur l’autre.

C’est pourquoi nous sommes involontairement dans le ménage classique à trois, où toutes les parties connaissent la situation ou où au lieu d’une ou deux, en l’occurrence les femmes tenues en échec par le charme du roi de cœur, ignorent qu’elles ont un rival. Le dernier cas est le plus désagréable, car vous êtes confronté à une véritable trahison.

Dans le premier cas, cependant, la situation est différente. Il pourrait s’agir en fait d’un choix partagé par les trois parties qui, soit pour briser les tabous, soit simplement pour tuer l’ennui ou la solitude, choisissent spontanément de former un triangle amoureux où personne n’excelle.

En réalité, la relation naît en amont, car presque jamais les choses ne restent inchangées dans le temps. En fait, il est très facile que tôt ou tard, le besoin d’une ou des deux dames, une relation d’exclusivité surgisse, mettant le monsieur dans une position d’avoir à décider qui abandonner.

Le problème, c’est qu’il ne veut pas toujours choisir. Au contraire, il est très facile pour le beau prince d’aimer ses deux princesses de la même manière, ce qui rend difficile pour lui d’opter pour l’une ou l’autre, mais de la même manière il est possible qu’il se sente déconnecté des deux. Pour la série “Je t’aime, mais ne me demande pas de m’engager”.

Indécis ou un papillon, le bonheur ou le malheur de ses dames dépend de lui, mais elles peuvent choisir de quitter le ménage triangulaire s’il commence à suffoquer. Une bonne façon d’y parvenir est de s’éloigner progressivement, en abandonnant progressivement les activités de groupe et les invitations individuelles, afin de faire passer le message que nous ne sommes plus satisfaits.

Notre réaction entraînera une rupture d’équilibre qui pourrait avoir trois conséquences. La première est de le rapprocher et l’autre de se rapprocher, la seconde est plutôt de réformer le triangle avec une nouvelle présence qui va nous remplacer. La troisième, ce que nous espérons peut-être, c’est de faire sentir à ce bel enfant notre absence, ce qui l’amène à faire quelques réflexions.

Si, pour entretenir son harem, il est prêt à nous abandonner, nous mettons un point d’honneur à aller au fond des choses, nous pouvons difficilement être heureux si notre désir est de former un couple. Au lieu de cela, nous cherchons quelqu’un qui n’a d’yeux que pour nous, qui n’a pas peur de s’engager et qui est prêt à aimer sa femme, sans autres distractions.

Les affaires de coeurs, nous le savons, sont compliquées et pour chaque situation, il n’y a jamais un comportement universellement correct ou incorrect. Parlons d’un premier rendez-vous. On demande souvent s’il est juste de coucher avec un homme la première nuit, mais donner une réponse à cette question n’est pas facile, car il faut comprendre le corollaire de l’histoire avant de dire ou de faire quelque chose.

Prenons quelques exemples de situation. Nous nous sommes rencontrés sur Internet, nous bavardons depuis quelques mois et nous nous parlons aussi souvent au téléphone. Peut-être avons-nous déjà eu des échanges de photos épicés, promettant de nous laisser aller dès que la relation virtuelle deviendra réalité, c’est-à-dire lorsque nous réussirons à combiner une rencontre face à face.

Dans ce cas, fondamentalement, une relation existe déjà, même à distance. Nous pouvons donc nous sentir libres de nous abandonner dans ses bras, si nous sentons qu’en plus d’être bien au niveau mental et émotionnel, il y a aussi une bonne sensation physique dans la peau.

Cependant, nous ne pensons pas qu’il y ait quoi que ce soit de mal à vouloir reporter. En fait, la connaissance virtuelle aide à découvrir les choses de l’autre personne, mais ne fait pas tomber par magie le voile du manque de confiance physique, ce qui peut prendre un certain temps. S’il s’en soucie, il comprendra sûrement.

C’est différent le cas de la connaissance dans un local, à un cours ou dans un gymnase. Le nouveau prétendant fascinant pourrait être à la recherche d’aventures faciles et nous demander un rendez-vous uniquement et exclusivement pour répondre à ses besoins en tant que prédateur mâle.

Nous sommes au 21ème siècle, le monde a évolué et même la liberté sexuelle de la femme. Si nous sommes d’accord pour être l’aventure d’une nuit, nous accepterons volontiers d’aller au lit avec le beau prince noir dès la première nuit. Mais attention, gardons à l’esprit qu’il n’y en a peut-être plus et ne soyons pas déçus s’il n’appelle pas. C’était juste amusant.

En tout cas, quand on décide d’aller au lit avec un homme qu’on vient de rencontrer ou qu’on a rencontré récemment, on fait attention à deux choses fondamentales. Sécurité : seulement des relations protégées, de préférence dans des lieux “familiers”, où l’on peut être facilement aidé si l’amoureux fougueux s’avère être un agresseur. Le cœur brisé : quand il s’agit de draps, ça ne vaut pas la peine d’être blessé si l’autre disparaît ou nous utilise seulement pour son plaisir. Ce sont les inconvénients de s’autoriser immédiatement, mais parfois même lui faire transpirer un “oui” ne le protège pas des coups de soleil.

Le temps est révolu où la femme devait pendre sa jeunesse par le clou après le mariage ou au seuil de quarante ans. Aujourd’hui, les femmes sont beaucoup plus sûres d’elles et de leurs possibilités, mais surtout elles ne se laissent pas influencer comme par le passé par leur âge. Après tout, on sait que si vous vous sentez crépiter à l’intérieur, votre carte d’identité ne compte pas.

Ainsi, pour beaucoup de célibataires qui ont passé la porte, soit parce qu’ils n’ont jamais voulu céder à l’idée de se marier et de fonder une famille, soit parce qu’après un divorce ou une séparation ils ont redécouvert plus beaux et plus durs que jamais, il n’est pas étrange de décider de sortir avec des hommes en dehors du cercle normal.

Par “étrangers”, nous entendons des garçons beaucoup plus jeunes, une concession de fraîcheur que beaucoup n’abandonnent pas.

Les femmes matures aiment le garçon-jouet

Quand l’énergie des années vingt ne nous a jamais quittés, même si nous avons éteint plus de bougies que nous ne voudrions l’admettre, il est assez facile de lâcher l’idée que nous pouvons vivre comme des jeunes, en nous aidant avec le bon accessoire. Le garçon-jouet.

Le garçon jouet est un enfant qui a au moins dix ans de moins, il est généralement très beau et a une bonne présence, mais surtout il est prêt à avoir à ses côtés un compagnon ou un amant plus mature, la couguar woman.

Il est très clair pourquoi le couguar aime le jeune homme :

C’est exactement ce qu’il faut pour revenir jeune du point de vue des habitudes sexuelles, ce qui peut être plus restrictif si vous accompagnez un homme mature.
C’est la meilleure façon de faire en sorte que les gens du même âge qui célèbrent leur mariage d’argent avec leur mari cariatide, les mêmes qui se moquaient de nous en disant “pourquoi pas, vous ne serez jamais aussi heureux que moi”.
C’est un passe-partout parfait pour assister à des événements et des lieux fréquentés par une clientèle jeune.
C’est l’occasion de s’habiller d’une manière plus tendance sans se sentir comme une blague de marche. Après tout, s’il met son jean et ses clous en cuir pour aller à une rave party, on ne peut pas le suivre en costume noir.